La mort n’est que la mort si l’amour lui survit est une réécriture du mythe d'Orphée.

La pièce présente six tableaux qui retracent six moments importants dans la vie d'Orphée : le poète, le voyageur, l’amoureux, le sage, celui qui va à la rencontre de l’inconnu, celui qui a le courage d’aimer et de plonger dans ses propres ténèbres, celui qui est porté par une furieuse envie de douceur qui lui permet de surmonter beaucoup d’obstacles.
Pourquoi vouloir transmettre son histoire ? Parce que le courage d’Orphée donne du courage. Parce que la poésie enchante le quotidien et que c’est presque un acte de résistance que de vouloir se relier à la beauté du monde.

"Il y a mille façons de monter un texte et je ne suis pas pour ma part un auteur du genre à indiquer aux comédiens ce qu’ils doivent faire. Mais parmi les propositions qui peuvent être faites il en est, comme celle de Béatrice Venet pour La mort n’est que la mort si l’amour lui survit, qui répondent si justement à mes yeux et à mes oreilles, à mes intentions que je ne peux qu’en éprouver une profonde gratitude." 
Jean-Pierre Siméon

Texte Jean-Pierre Siméon
Jeu et mise en scène Béatrice Venet - Cie Rêve Mobile
Collaboration artistique Gautier Boxebeld
Scénographie Cassandre Boy
Regards extérieurs Renaud Bechet
Costume Augustin Rolland
Lumières Félix Bataillou

Mercredi 30 mars - Bord de scène avec Jean-Pierre Siméon

En résonnance avec le festival Magnifique Printemps